Chouquettes : Pour le thé, servir un joli plat de chouquettes. Elles ravissent chacune des amies venues papoter tout autant que tricoter, crocheter ou broder. Ces petits choux moelleux parsemés de perles de sucre ravivent des souvenirs. Les ouvrages de fils sont posés pour laisser la place à des récits charmants qui sont alors tissés de mots.
Joie intense : Quelqu’un qui a lu « Ma vie était un fusil chargé » et est en train de lire « Aussitôt que la vie » m’en parle avec émotion et me dit des mots très gentils qui me touchent profondément.
En plus, cette personne a offert « Ma vie était un fusil chargé » à une amie dont elle me lit le message reçu, disant que ce livre est beau, très remuant et qu’elle y est plongée. Mais quelle émotion !
aussitôt que la vie
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Chouquettes – Quelle émotion !
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A la médiathèque du Clos Saint Louis.
Entourée de plusieurs lecteurs et lectrices, j’ai répondu à toutes les questions qu’on m’a posées à propos de mes livres, Journal d’une seconde vie , Avec la vieille dame, Nous, Aussitôt que la vie et Ma vie était un fusil chargé. C’était vraiment chouette de voir mes livres posés sur la table ou sur des genoux, d’écouter celles qui se sont exprimées en lisant les notes qu’elles ont prises au fur et à mesure de leur lecture.
Les échanges ont été très riches et pleins d’empathie.
Echanger avec ses lecteurs, c’est vraiment une grande chance. J’ai reçu beaucoup de compliments, ce qui m’a fait chaud au cœur.
C’est important pour moi de les entendre dire ce qu’ils ont aimé, de les écouter poser des questions, de donner leur opinion sur un thème particulier (nous avons longuement parlé du pardon, thème qui est abordé dans Ma vie était un fusil chargé), ou de ne rien dire mais seulement écouter et regarder. Le fait qu’aucune des personnes présentes n’ait été indifférente à ce que j’ai écrit m’a fait du bien et j’ai aimé que les uns ou les autres parlent aussi d’eux-mêmes.
Que ce soit dans l’écriture ou dans la vie de tous les jours, l’attention à l’autre est une priorité pour moi : quand j’écris, je me demande aussi si mes mots pourront être non seulement compris mais partagés ; quand je marche dans la rue, je souris à ceux que je croise. C’est la même démarche.
Merci donc à ces personnes rencontrées samedi matin pour l’intérêt porté à mon travail, avec une mention spéciale pour l’organisatrice de ce café lecture, Christine, la bibliothécaire de la médiathèque du Clos Saint Louis, qui est aux petits soins pour ses lecteurs et lectrices, ainsi qu’à son collègue Lionel.