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aussitôt que la vie

  • Petits bonheurs les uns à la suite des autres.

    A la médiathèque, retrouver avec bonheur une ancienne voisine avec qui on papote un instant pour se donner des nouvelles depuis le temps qu’on ne s’est pas vu.
    Alors qu’elle tend ses livres pour les rendre à la bibliothécaire, celle-ci lui demande si elle a lu mes livres. Devant son étonnement et son intérêt pour mon travail, la bibliothécaire va en chercher un dans un rayon.
    Je me rends compte alors que Ma vie était un fusil chargé, Aussitôt que la vie et Avec la vieille dame sont empruntés. Il reste Nous et Journal d’une seconde vie.
    Alors cette voisine emprunte ce dernier livre.
    Elle s'installe à une table, l'ouvre et se met à lire.



    PS. Si les liens sont inaccessibles, vous pouvez faire une recherche sur internet pour trouver les sites où commander mes livres ou bien vous adresser à votre librairie préférée.
    Par ailleurs, plusieurs médiathèques ont désormais inscrit "Ma vie était un fusil chargé" à leur catalogue. N'hésitez pas à en suggérer l'achat à votre médiathèque ou à me la faire connaître pour que je puisse prendre contact avec les bibliothécaires.

  • Una furtiva lacrima.


    Hier matin, séance dédicace à la librairie Charlemagne de La Seyne. Deux belles heures pendant lesquelles les rencontres ont été nombreuses et les échanges chaleureux. Merci à F., V., N., E., MC., El., J., P., … à cette jeune femme repartie avec l’adresse de ce blog car en ce moment elle a besoin de soutien, à cette autre qui est arrivée avec « Aussitôt que la vie », lu il y a quelques mois et heureuse de pouvoir me rencontrer pour parler de la beauté de la colline provençale, et aux autres encore.
    C’était un moment fort en raison du lieu, cette belle librairie Charlemagne, et parce que j’étais là avec mes livres, tout simplement heureuse.
    Juste avant de partir de la maison, l’air fameux extrait de « L’élixir d’amour », Una lacrima furtiva, chanté par Pavarotti, a retenti à la radio. Maman aimait beaucoup cet air et j’y ai vu là le signe de sa présence à mes côtés, en cette veille de la fête des mères.
    Bon dimanche à vous tous, mes chers fidèles lecteurs, qui me soutenez avec tant de gentillesse.