Après avoir écouté quelqu’un parler pendant deux heures de son chemin, à la fois difficile et choisi, se sentir plus forte et repenser à cette belle phrase qui clôt le roman de Robert Brasillach, Comme le temps passe :

"L’important est de ne faire qu’un avec sa propre course, même si on en aperçoit pas tout de suite l’aboutissement lumineux »

En allant chercher le pain, le soir en rentrant, prendre des croissants et de la baguette viennoise pour le petit déjeuner du lendemain, même si ce ne sera pas dimanche.