De bon matin, en rangeant la cuisine, remarquer qu’il reste du thé dans la théière. Quel dommage. On ne s’en était pas rendu compte quand on avait resservi les amies venues coudre et tricoter. Il reste la valeur d’une bonne tasse. On pourrait le boire. Même froid, le rooïbos est délicieux.
Tout à coup, se rappeler qu’il doit rester de l’huile de pépins de raisin dans le placard. Oui. A peu près autant que le thé…
Tiens …. Tiens ….
Une idée ….
Et il n’y avait pas aussi des flocons d’avoine, quelque part ? Mais si ! Là, dans la poche en papier !
Ne pas oublier la vergeoise qui attend au fond de son sac bien plié et retenu par un élastique vert.
Tout verser, le thé, l’huile, la vergeoise, les flocons d’avoine, dans un grand saladier.
Terminer également la vanille en poudre qui reste dans son tube à essai.
Attraper le pot de farine. Vider ce qui reste dans le saladier. Mettre le pot à laver.
Tout mélanger.
La pâte est grumeleuse, dorée, odorante. Un peu collante.
Former des petites boules de la taille d’un cochonnet en roulant des morceaux de pâte entre les paumes des mains. Aplatir les boules légèrement et les poser sur une plaque du four.
Faire cuire. Quand ça sent bon, sortir la plaque.
Faire trois plaques.
Obtenir des biscuits grossiers et vraiment délicieux.
Ils auraient certainement pu se conserver longtemps dans la boîte en fer blanc si on n’avait pas commencé à y goûter…
biscuits
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Faire des biscuits avec des restes.
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26 juillet 2010. Biscuits de guerre.
Se lever tôt.
Préparer des biscuits de guerre.
Choisir de les parfumer aujourd’hui au gingembre.
Etaler la pâte.
Découper des étoiles.
Les faire cuire.
Quand ils sont dorés, les retirer du four et les mettre dans la boîte en métal.
Ne pas oublier de préparer un sachet pour l’amie chez qui on prendra le thé l’après-midi.