Lundi, grâce à la délicieuse Denisa Kerchova, Joe Dassin qui chante en japonais Les Champs Elysées ; poursuivre en utilisant sa discothèque personnelle, malheureusement uniquement francophone pour ce chanteur dont on adore Les petits pains au chocolat ; mardi, la Symphonie n°2 Résurrection de Mahler, dirigée par Pierre Boulez ; mercredi, la Symphonie K550 de Mozart ; jeudi, le début des Noces de Figaro, de Mozart, toujours ; et vendredi, Maxime Le Forestier.

Parce que Paul Veyne l’a évoquée dans ses mémoires lues dernièrement, aller dans la bibliothèque reprendre le journal de Catherine Pozzi.
Le feuilleter, lire quelques passages ça et là, repérer une phrase soulignée et se dire qu’on la soulignerait aussi aujourd’hui, s’arrêter sur une page cornée, sur laquelle rien n’est marqué, alors on la relit ; et puis une autre ; encore une autre. Pour se rendre compte qu’on a aimé chez Catherine Pozzi ce besoin d’absolu mais que sa souffrance faisait mal. Et alors il est très tard dans la nuit. Trop tard pour aller chercher ses poèmes. On les relira demain. C’est tellement agréable de relire et de se promener ainsi dans un livre.