Marcher longuement, très longuement, dans la forêt.
Glisser dans le petit carnet une feuille de chêne joliment décorée par l’automne.
En rentrant, écouter Mozart, le Concerto pour clarinette, qu’on avait commencé à se chanter dans la tête parce qu’il accompagne bien les amples mouvements de respiration.
aiguilles de valbelle
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La forêt.