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biophilie

  • L’orée de la forêt, L’équilibre du jardinier, Erich Fromm, biophilie.

    Dans le pré qui précède la forêt, des coquelicots au milieu de la belle herbe printanière et sur le talus qui ceint le pré, tout autant de fleurs de bourrache aux feuilles qui semblent blanches dans le scintillement du soleil. En relevant le regard, c’est d’un côté l’immense potager de la ferme de Fabregas et de l’autre côté la canopée qui s’élève jusqu’au sommet du Mai qui brille aussi. Au-delà, tout ce grand ciel bleu.
    Après avoir ressorti du sac L’équilibre du jardinier, de Sue Stuart-Smith, on l’ouvre page 167, page déjà marquée d’un joli post-it vert, pour relire les lignes qui concernent la biophilie, terme utilisé par Erich Fromm : « l’amour passionné de la vie et de tout ce qui vit. »