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cracher les noyaux de cerises

  • Moisson.

    Ramener une belle barquette de cerises d’Ampus. En garder près de soi une poignée et ranger le reste dans le coffre. Conduire fenêtre grande ouverte pour pouvoir cracher les noyaux.
    Nettoyer la terrasse de fond en comble et repeindre en blanc le fer forgé rouillé de la pergola et en bleu la petite lanterne qui l’éclaire le soir.
    Se baigner, enfin.
    Préparer les premiers poivrons à l’huile de la saison.
    Manger un couscous en famille.
    Poursuivre la lecture de la correspondance des Soeurs Brontë, deux à trois lettres par soir et savoir, par une lettre dans laquelle elle en parle, qu'une amie va faire de même.
    Relire le début des Hauts du Hurlevent qu’on avait lu quand on avait quinze ans.
    Terminer Foutez-vous la paix, de Fabrice Midal et l’offrir à quelqu’un.
    Marcher le long de la corniche de Tamaris et remonter par le chemin du Manteau parce qu’il est bien ombragé.




  • Cracher les noyaux des cerises.

    Récupérer un beau saladier de cerises qu’un collègue a apporté de son jardin et promettre de faire un clafoutis pour le lendemain.
    Sur le chemin du retour, au son de La Belle Hélène, de Jacques Offenbach, en manger quelques unes et cracher les noyaux par la fenêtre ouverte. Veiller à en garder suffisamment pour le clafoutis promis.