C’est parfois difficile de constater encore une fois que ceux qui nous entourent sont insensibles à cette possibilité d’un monde nouveau qu’on porte en soi et qu’on est prêt à partager pour un vivre ensemble à la hauteur de l’humanité.
Mais il faut tenir bon et toujours aller vers la lumière.
Je pensais à cela hier en regardant sur le bord du sentier les fragiles violettes que j’aime tant :
elles tiennent bon dans ce monde qui les ignorent
et où elles-mêmes comme leurs compagnes de printemps, d’hiver, d’été ou d’automne sont menacées :
elles sont là,
elles sont les violettes,
elles participent au monde et à son grand mystère.
Et c'est déjà beaucoup.
possibilité d'un monde nouveau
-
Possibilité d’un monde nouveau