Dans le grand cimetière, pour l’instant fleuri – mais les chrysanthèmes et les cyclamens commencent à faner, et sur la tombe au dôme jaune il faudra déjà changer quelques pots -, rester là, en un jour qui rappelle un autre jour, dans ce silence qui n’en est pas tout à fait un,
froissements dans le vent des feuilles des arbres
pépiements d’oiseaux allants et venants
éclats de voix, tels des échos de diamants dans le cœur,
dans ce silence plein
cette musique silencieuse
d’une présence
présence
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Musique silencieuse d’une présence
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19 décembre 2011. La présence en cadeau.
Avoir invité les copines pour une patchpartie à la maison, leur ayant dit à chacune que leur présence serait un vrai cadeau pour ce jour particulier.
L’une d’elles, émue, avait confirmé sa visite en disant : c’est la première fois qu’on me dit que ma présence est un beau cadeau.
On lui donnera la plus grosse part du gâteau au moment du thé.