Il paraît que la nouvelle mode, que ce soit dans le monde du travail ou dans la vie familiale, c’est de dire non, ainsi que l’explique Guillemette Faure dans un article du supplément du Monde. Elle cite une tribune publiée en mai dernier dans le New York Times : « Elevez de meilleurs enfants, dites non. »
Qu’en pensez-vous ?
Commentaires
Réaction à une éducation trop laxiste sûrement. À un système où on en demande beaucoup trop aux travailleurs aussi.
Si c'était plutôt une nécessité qu'une mode?
Un pas vers le retour à de plus réalistes valeurs ?
y'a du boulot !
Bonne semaine
des bises
laurence
OUI, il faut dire souvent NON à nos chers petits !
Afin d'accéder aux "bonnes manières" comme dit ma tante nonagénaire,
les explications ne peuvent leur parvenir qu'à travers des conseils
cent fois remis sur le métier...
Et le mot NON reste l'un des plus usités...pendant longtemps !
Quant à nous, disons OUI à cette judicieuse question ...
que nous vous remercions de nous avoir posée !...
Ce sont hélas les enfants qui disent non aujourd'hui, et de façon fort véhémente en plus, dans les magasin, les transports en commun, les restaurants...C'est insupportable.
Retour aux valeurs fondamentales de la famille. Les parents détiennent l'autorité et sans en abuser, ce sont à eux de dire non.
c'est comme ça que j'ai été élevée, avec des "non" définitifs contre lesquels je n'essayais même pas de discuter: non aux cours de musique, non à tout (et puis vint le petit frère pour qui tous les 'non' devinrent 'oui', c'est sans doute cela qui fait le plus de mal à un enfant)
Je ne sais pas. Je n'ai plus d'enfant à élever - ce qui est chouette.
Mais, j'aime tellement le OUI. SI a la vita...
Bises pour un lundi de OUI.
Oui, il faut oser dire non lorsque la demande est insupportable... Ce n'est pas toujours facile, mais ça fait un bien fou d'en être capable !
Pourquoi les enfants seraient-ils seuls à pouvoir dire "non"...?
Il faut aussi savoir leur répondre que notre "non" à nous est plus important que le leur... ;)
Bon, je plaisante, mais je suis confrontée chaque jour au "non" de mes petits-enfants.
Passe une douce journée.
C'est important de dire non, mais pas systématiquement...
J'ai négocié, ai exprimé, mais ai dit aussi non et, aujourd'hui, je crois que j'aurais d'avoir dit plus non, la vie dit non plusieurs fois et on doit apprendre aussi la frustration... Mais il faut aussi l'esprit revel, l'esprit révolutionnaire...c'est aussi difficile l'éducation...
Je me souviens d'un jour où je suis rentrée d'une journée de classe et j'ai dit que j'avais l'impression d'être la première personne à dire NON à certains élèves. Et c'était sûrement vrai.
La vie m'a appris que TOUT et en TOUTE circonstance est une question de CAS PAR CAS :-)
La seule règle de la vie qui existe, c'est qu'il n'y a pas de règles du tout !!!
Il n'y a que morale et lois et j'en suis bienheureuse car cela empêche la plupart des détraqués que nous sommes de nous entretuer férocement !!!
Quoiqu'à bien y réfléchir, c'est bien cela qui se passe lol
Oui, il faut savoir dire non aux demandes abusives, d'où qu'elles viennent, et savoir dire non plutôt que promettre quelque chose qu'on ne fera pas. Ainsi, il me semble, nous chargeons nos "oui" de valeurs et de sentiments vrais.
En plus léger, ce "dire non" me rappelle le conseil de la vétérinaire à qui je demandais, à l'adoption de mon premier chaton, s'il était possible d'éduquer un chat. Difficile, m'a-t-elle répondu, mais ils comprennent un NON ferme et constant - et cela s'est vérifié.
Il arrive que dire non à ceux qu'on aime coûte beaucoup d'énergie et de courage.
Savoir dire non ou oui. Tout simplement savoir discerner ... Un apprentissage qui dure toute la vie. Bises
Savoir dire non ou oui. Tout simplement savoir discerner ... Un apprentissage qui dure toute la vie. Bises
Savoir dire non ou oui. Tout simplement savoir discerner ... Un apprentissage qui dure toute la vie. Bises
J'ai eu du mal, mais quand mon fils exagérait un peu, la seule chose qui "marchait", c'était de dire "non" à la télé.
Un jour aussi, où il avait été insolent (il était ado), je suis montée dans ma chambre et quand il m'a demandé si on ne mangeait pas, je lui ai fait la même réponse qu'il m'avait faite une heure avant (à propos de son travail d'école).
Le reste du temps, il paraît que je n'ai pas arrêté de lui seriner qu'il fallait assumer les conséquences de ses actes (tu n'étudies pas? Ok. Mais alors accepte que tu auras un échec... Enfin, une bulle o;)
Sinon, il était raisonnable. Quand il me demandait d'aller au musée de l'air ou de l'armée, je disais oui. Je trouvais ça mieux que d'aller à la banque et à la Fnac, comme le faisait son père...