Lire s’accompagne souvent du geste de l’écriture : souligner un mot, tracer une astérisque en haut d’une page, voire prendre des notes et faire une « fiche de lecture » (pour ceux qui sont les plus sérieux, s’entend). En lisant le beau roman de Yôko Ogawa, Petits oiseaux, c’était bien agréable de relever les noms d’oiseaux rencontrés au fil des pages :
L’alouette
La bantam (une poule)
Le bengali
Le bruant
Le bulbul (sans précision s’il s’agit du bulbul des jardins ou à ventre rouge ou noir)
Le canari, le canari citron, le canari roller
Le corbeau
Le diamant, le diamant de Gould
La fauvette à tête noire
Le gobe-mouche lapis-lazuli
La grive
La grue
Le jaseur
La mésange, la mésange boréale, la mésange charbonnière, la mésange des montagnes
Le moineau (ou le pierrot), le moineau de Java, le moineau de Java cannelle, le moineau de Java cerisier
L’oie sauvage
Le paon
Le perroquet
La perruche calopsitte, la perruche d’Australie, la perruche lapis-lazuli, la perruche ondulée
Le pic (pas précisé si épeiche ou vert)
Le pigeon
Le pygargue
Le rouge-queue
Le sansonnet (ou étourneau)
Le tarin des aulnes
Et, bien sûr, l’oiseau à lunettes ou le zostérops