L’ipomée va bien : elle pousse et, chaque jour, elle offre deux, ou trois, voire quatre fleurs. On la discipline en fixant les fines tiges souples mais, la têtue, elle tente quotidiennement de passer derrière la canisse, ce qui n’est pas prévu. On s’est rendu compte qu’une ipomée demande beaucoup d’eau. Ainsi, chaque jour on va y mettre l’eau de la salade qu’on nettoie.
On a décidé de planter sa jumelle en face pour qu’elle se sente moins seule et parce que ces fleurs bleues, vraiment, c'est très joli. On leur adjoindra les roses trémières et les belles-de-nuit.
On en viendrait même à espérer être déjà le 25 novembre…
ipomée - Page 3
-
Des nouvelles de l’ipomée.
-
Face à l'ipomée.
C’est chaque jour maintenant que l’ipomée offre une ou deux fleurs. Elle pousse bien : ses lianes s’enroulent élégamment et vont même de l’autre côté de la canisse, ce qui n’était pas prévu. Il s’agit donc de faire ressortir les tiges pour les accrocher de l’autre côté.
Face à elle, le mur blanc de la cour, à l’ombre le plus souvent. On sait déjà qu’en novembre, le 26 exactement, jour de la Ste Catherine où tout prend racine, on plantera à son pied les graines de roses trémières et quelques belles-de-nuit. Mais on voudrait poser un treillis pour y faire pousser une jolie plante grimpante. Oui mais voilà, quoi ? Du chèvrefeuille ? Un jasmin ? Une clématite ? Ah oui, pourquoi pas une clématite… L’Armandii, on se souvient de son parfum….