Lire une première fois Giono furioso d’Emmanuelle Lambert avec une sorte d’avidité, puis le relire en faisant le point sur les livres de Giono qu’on a dans la bibliothèque, ceux qu’on n’a pas, ceux qu’on a lus, ceux qu’on n’a pas encore lus.
Préparer des lasagnes.
Balayer plusieurs matins de suite la terrasse que la tempête de ces derniers jours encombre de feuilles et de branchettes dont on ne sait pas vraiment d’où elles viennent.
Recevoir du courrier et s’installer au bureau en écoutant la 6ème symphonie de Beethoven pour y répondre.
Signer un B.A.T. (bon à tirer).
emmanuelle lambert
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Moisson.
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Livres du matin / du sac à main / du soir.
Le matin, Sagesse de l’herbe, d’Anne Le Maître, avant d’aller marcher dans la colline, en alternance avec Le jeûne, une nouvelle thérapie, de Thierry de Lestrade, un livre qui traînait sur une table de la médiathèque.
Dans le sac à dos, Là, poèmes d’Etienne Paulin, un livre qui traînait aussi sur une table de la médiathèque.
Le soir, Giono furioso, d’Emmanuelle Lambert qui commence par cette phrase de Giono en exergue : « Je tuerais pour écrire. »