Se régaler de la lecture de Sagesse de l’herbe, d’Anne Le Maître. « Cette impression étrange d’avoir toujours grandi sur les chemins. » « Le voici, le Je suis du divin. » (en grec, Ego eimi) Toutes ces lignes sur le chêne et puis aussi sur l’orme. Avoir en soi de la ronce et de l’ortie. « Et quoi de mieux que le ciel ? »
Préparer des endives au jambon.
Aller au marché du Cours Lafayette prendre de la tapenade et des olives, de la coriandre aussi.
Marcher dans la forêt.
Ecrire plusieurs pages.
Ecouter (en partie) la folle journée de Nantes consacrée à Beethoven.
sagesse de l'herbe
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Moisson.
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Livres du matin / du sac à main / du soir.
Le matin, Sagesse de l’herbe, d’Anne Le Maître, avant d’aller marcher dans la colline, en alternance avec Le jeûne, une nouvelle thérapie, de Thierry de Lestrade, un livre qui traînait sur une table de la médiathèque.
Dans le sac à dos, Là, poèmes d’Etienne Paulin, un livre qui traînait aussi sur une table de la médiathèque.
Le soir, Giono furioso, d’Emmanuelle Lambert qui commence par cette phrase de Giono en exergue : « Je tuerais pour écrire. »