Le matin, Sagesse de l’herbe, d’Anne Le Maître, avant d’aller marcher dans la colline, en alternance avec Le jeûne, une nouvelle thérapie, de Thierry de Lestrade, un livre qui traînait sur une table de la médiathèque.
Dans le sac à dos, Là, poèmes d’Etienne Paulin, un livre qui traînait aussi sur une table de la médiathèque.
Le soir, Giono furioso, d’Emmanuelle Lambert qui commence par cette phrase de Giono en exergue : « Je tuerais pour écrire. »
thierry de lestrade
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Livres du matin / du sac à main / du soir.