Déjà un an que mon dernier livre (le cinquième...), « Ma vie était un fusil chargé », est paru !
Comme le temps passe !
Merci encore à tous ceux qui m’ont fait la gentillesse de l’acheter ou de l’emprunter dans une médiathèque, de se déplacer pour venir me voir dans une librairie ou une médiathèque, d'écrire un article sur leur blog... Toutes ces marques d’intérêt sont des pépites dont je suis très reconnaissante.
Ce livre suit son petit bonhomme de chemin très tranquillement car il est difficile de se faire connaître quand on a peu de réseau. D’autant qu’après un an, un livre est considéré comme « vieux » et ne suscite pas toujours auprès des décideurs beaucoup d’intérêt car ils leur faut suivre l’actualité et cela leur donne des contraintes importantes…
Mais c’est déjà un grand bonheur pour moi d’avoir pu écrire ce livre, le faire éditer, et qu’il soit lu. Oui, tout ceci est énorme d’autant que les Cassandre sont foison… Ce qui me donne l’occasion de répéter, encore et encore, qu’il ne faut pas s’interdire d’aller puiser à la source de sa vie pour satisfaire ceux qui n’osent pas le faire.
Bon week end !
éditions l'harmattan
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Il y a déjà un an, parution de « Ma vie était un fusil chargé »
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Publication d’un nouveau livre : Aussitôt que la vie.
Hier après-midi, encore une fois, j’étais comme un oiseau sur la plus haute branche ! Mon nouveau livre, Aussitôt que la vie vient de paraître aux éditions L’Harmattan. C'est la poursuite d'une belle aventure.
Dans ce journal, la narratrice raconte ses marches entre Maures et Garlaban. Elle décrit le maquis, la garrigue, les arbres et les fleurs, chante la lumière de ce Midi où les bleus du ciel et de la mer se mêlent. Elle se souvient aussi de son passé d'enfant abandonné et de ce qui lui a permis d'entrer en résilience. Les dix textes de ce recueil sont un hommage à la Provence, aux hommes et aux femmes qui l'ont recueillie et aimée. Ils montrent que la nature sauve toujours ceux qui, devenus la proie du désespoir, sont tentés par les abîmes de la mort. Le titre, Aussitôt que la vie, fait référence à l'Odyssée, d'Homère. Ce sont les mots qu'Anticlée adresse à son fils Ulysse quand celui-ci passe par les enfers sur son chemin du retour vers Ithaque, avant de l'enjoindre de repartir au plus vite vers la lumière.