20 avril 2011. L’eau vive.
S’arrêter, alors qu’on marche depuis un bon moment.
Entendre l’eau alerte qui se presse vers la vallée.
Elle est invisible : elle se faufile sous la neige, mais elle est bien audible, rapide, pressée même, voire impatiente, sautillante de cailloux en cailloux, pour aller très vite voir les arbres en fleurs.
Penser à la chanson de Guy Béart qu’on nous chantait quand on était enfant : Ma petite est comme l’eau / Elle est comme l’eau vive / Elle court comme un ruisseau / Que les enfants poursuivent…..
poursuivre son chemin
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Relire d’anciens Bonheurs du jour : L’eau vive.