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tourterelles

  • Dernier jour de mars.


    Préparer une bonne marmite de riz au lait pour régaler une bonne tablée ce qui fait embaumer la maison le temps de la cuisson.
    Bien avancer dans la correspondance de Clarice Lispector.
    Prêter la correspondance de Flannery O’Connor.
    Du fauteuil, regarder par la fenêtre les oiseaux familiers du lieu qui se succèdent à la mangeoire : les deux tourterelles, le rouge-queue, le rouge-gorge, un autre tout petit aux plumes gris clair (peut-être une fauvette ?) … Comme s’ils avaient mis en place un emploi du temps bien précis pour ne pas se déranger les uns les autres. Constater qu’ils ont bon appétit.
    Brosser les chats.

  • Goya, tricot, Stendhal, tourterelles, feuilles mortes.

    Lire un bel article sur Goya dans le dernier numéro de Beaux-Arts Magazine emprunté à la médiathèque.
    Profiter du mauvais temps pour ressortir un tricot commencé avant l’été.
    Terminer La chartreuse de Parme, de Stendhal. Prévoir de poursuivre avec Le rouge et le noir.
    Remarquer que les tourterelles restent sur leur fil malgré la tempête.
    Ramasser des feuilles mortes. Avancer ainsi de feuille en feuille, cherchant les plus belles. Aller, de ce fait, bien plus loin que prévu.