Dans la grande chambre où le clapotis de l’oxygène valse dans le silence, après avoir rangé le linge sale et mis du linge propre, replié encore une fois le linge qu’on a plié la veille dans l’étroit placard, lissé le drap du plat de la main, retrouver ce geste d’imbiber d’eau de Cologne un grand mouchoir en tissu comme on en utilisait autrefois et le passer sur le front, les joues, le menton d’un très vieux monsieur qui alors ouvre les yeux et dit : « merci ».
un grand mouchoir d'autrefois
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Eternelle eau de Cologne.