Relire La tempête, de Shakespeare car le titre anglais d’Une saison à Hydra, d’Elizabeth Jane Howard, lu et tellement aimé, est The sea change, en référence à cette pièce de théâtre. C’est toujours agréable d’aller de livre en livre.
Faire les vitres.
Ramener du marché un beau gros bouquet d’anémones et y admirer les premières primevères aux couleurs éclatantes.
Tricoter en écoutant l’émission d’Aurélie Moreau, Le van Beethoven, qui se poursuit en 2021.
Rassurer quelqu’un qui, seul, est en train de préparer les obsèques de son père et qui a peur de mal faire ; le soutenir, le conseiller, et lui dire qu’il ne sera pas jugé et que si cela arrivait de la part de certaines personnes, ce serait parce qu’elles ne savent pas combien c’est dur, ces moments-là ; il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne se trompent jamais.
Constater que le compteur d’Avec la vieille dame atteint les 115 exemplaires.
Marcher le long de la corniche de Tamaris, rentrer à la maison, préparer du thé vert, et écrire.
une saison à hydra
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Moisson du 16 janvier 2021.
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Moisson du début de l’an.
Marauder les premières branchettes de mimosa qui seront mises dans le petit vase bleu ramené d’Italie en son temps.
Aider quelqu’un à se sortir d’un problème de facture de téléphone.
Refuser de participer à une conversation au cours de laquelle tout le monde râle.
Commencer à mettre à jour la liste des inscrits à la Newsletter du Blog.
S’étonner de ce que le compteur d’Avec la vieille dame continue à augmenter.
Récupérer enfin à la librairie Transpositions hasardeuses, d'Emma Messana.
Passer la soirée avec Une saison à Hydra, d'Elizabeth Jane Howard.
Marcher le long de la mer sous la pluie et dans le vent puis rentrer et écrire.