Un matin, alors que le cœur est au bord des lèvres, écouter, encore une fois, le Concerto Empereur de Beethoven. S’appuyer sur le rythme du deuxième mouvement pour reprendre souffle. Se souvenir de ce que fut la vie de Beethoven : solitude mais aussi, comble pour un musicien, surdité. Pourtant, il est allé jusqu’au bout de sa route car il était un grand vivant.
On passera quelques semaines, quelques mois peut-être, à vivre avec lui, à réécouter son œuvre digue contre le désespoir.
vivre avec beethoven
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Vivre avec Beethoven.