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La question du lundi. Syndrome de la cabane ou de l’escargot.

Ce n’est pas la première fois qu’on entend parler du syndrome de la cabane, mais c’est la première fois pour le syndrome de l’escargot, dans un article paru vendredi dans le journal. Ils seraient le fait qu’après les confinements successifs, on serait « ankylosés dans le corps et dans l’âme » et que cette sortie de ce qui pourrait être un long hiver (les confinements) serait bien difficile. La réflexion autour de ces syndromes est vraiment intéressante car on a ressenti soi-même, il est vrai, une bonne envie de se replier sur soi-même car c'est certainement plus rassurant...

D’où la question du lundi : Aviez-vous entendu parler de ces syndromes, de la cabane et de l’escargot ?


Commentaires

  • Ici on l'appelle le syndrome du nid, ce qui revient au même. Mon frère, qui, dans une autre vie était thérapeute de thérapies brèves, est submergé de demandes d'aide. La peur de sortir du cocon, même parfois pour aller travailler.

  • Non, pas du tout.
    Le repli sur soi est une tentation... mais j'essaie de ne pas me recroqueviller sur moi, d'où la nouvelle publication. :)
    Passe une douce journée. Amitiés.

  • Non pas du tout de mon côté, je suis très intéressée. Je vais faire des recherches, merci à vous, belle journée.

  • J'ai la chance d'avoir un tempérament mi-solitaire, mi-sociable, à parts égales. Je ne crains pas plus la solitude que les rencontres, l'enfermement (relatif, avec un jardin et la campagne environnante) que les terrasses bondées. Vaccinée, je continue à respecter les gestes barrière, mais j'ai plaisir à rencontrer des visages sans masque, au gré de mes promenades dans le bois ou sur la plage, j'avoue. Donc non, pas de syndrome de cabane ici...

  • Non je n'en ai pas entendu parler mais c'est bien triste si cela doit mener chez un psy... Moi je suis plutôt pantouflarde alors ce confinement ne m'a pas pesé surtout que même en seule compagnie de moi-même je ne m'ennuie jamais. Le retour à la normale me soulage quand même, réunir amis et famille autour d'un barbecue, un petit resto en amoureux,... Mais je pense aussi que certaines habitudes ont été prises comme l'e-commerce et le "je suis aussi bien dans mon jardin qu'en vacances" qui feront que l'économie aura du mal à repartir.

  • Pas entendu parler. Mais je pense que je commence à le ressentir....

  • c'est la première fois que j'entends parler de ce syndrome mais il est vrai que le confinement laisse des traces dans notre mental. Pour ma part, habitant la campagne et étant proche de la nature, à part le manque de mes proches et de relations sociales, cette période ne m'a pas affectée.

  • Non, je n'en ai pas entendu parler. Mais c'est vrai que ces confinements successifs ont contribué à un certain enfermement et un repli sur soi. Je pense que les beaux jours vont contribuer à reprendre une vie sociale "normale".
    Très bonne journée

  • Je n'en ai jamais entendu parler, mais je conçois très bien ce syndrome, quand j'étais gamine avec mes frères et des cousins nous avions construit une cabane dans un arbre à la campagne et nous nous y cachions souvent, en remontant la corde qui nous permettait d'y grimper... était-ce le syndrome du nid ? Je n'en sais rien mais nous y étions si bien en compagnie des merles très curieux qui se perchaient à deux pas de nous pour nous observer !
    Bonne journée

  • Non mais je le vis durant ce confinement. Comme tout cela peut être négatif et positif (permet notre conservation). Bises

  • de nature 'cabane/escargot', j'ai pourtant l'humeur généreuse et les chemins beaux...

  • J'en ai entendu parler Je m'en croyais loin Mais maintenant que nous pouvons vivre plus librement je me rends compte que je dois parfois faire un effort pour sortir de chez moi.

  • Oui, j'ai entendu parler des deux. J'ai craint moi-même de ne plus avoir la force de ressortir normalement, de trouver plus facile au final de rester sur une routine ennuyeuse mais confortable. Les premières levées de restrictions me rassurent, le soleil aidant, je n'ai pas de mal à repartir, tout en ressentant une certaine étrangeté, comme si c'était sortir qui n'était plus normal.

  • Je ne connaissais pas ces syndromes, ayant gardé en gros la même vie depuis bien avant COVID... Masque, oui, horaires, oui, mais à part ça, j'ai d'autres contraintes..;

  • On le constate: les concerts de musique ont repris avec jauge limitée. Mais cela fait deux fois qu'on est loin de remplir la jauge. Les gens ne viennent pas (maintenant il y a aussi ceux qui en ont marre du masque).

  • Je n'en ai pas entendu parler ! Personnellement je suis sortie aussi souvent qu'habituellement pour me balader dans la campagne même si bien entendu cela a été moins loin et pour moins longtemps. Par contre, je suis peu allée rarement en ville et j'imagine donc que pour ceux qui y vivent, tout cela ait été très difficile. Ce sont des syndromes qui doivent aussi apparaitre, j'imagine, chez les gens qui ont été longtemps en congé maladie...En tous les cas forcément tout cela laissera des traces, chez les enfants comme pour toutes les générations...belle semaine

  • Oui, j'en ai entendu parler. J'ai vécu un très gros choc personnel PENANT le 1) confinement; je n'en ai parlé à personne; j'ai dû le "digérer" mais ses retentissements ont des échos. Je ne partage toujours pas ces inquiétudes, mais je vois mes amies parce qu'elles me font du bien. Partir aussi. Ceci dit, je sais que ces syndromes sont courants et je les comprends et compatis.

  • Non je ne connaissais pas ces deux syndromes.... mais leur présentation doit se fonder sur un sentiment bien réel : les confinements ont tétanisé certains désirs, certains rêves, certains besoins de mouvements... Dommage ! Dis quand reviendront-ils ? Belle journée à toi.

  • je n'ai rien lu sur le sujet mais à discuter autour de moi je crois que ces sensations se retrouvent chez beaucoup de personne, vie au ralenti, renfermement sur soi, arrêt des activités de groupe, bref beaucoup de raisons pour ressentir ce mal sournois

  • Je n'en ai jamais entendu parler. Mais pour certains je comprends que le confinement ait été mal vécu, j'ai la chance d'avoir un jardin, et la forêt à côté alors je ne l'ai pas vécu de la même façon.
    Belle soirée

  • Oui des le 1er confinement les médecins mettaient en garde sur ce symptôme dit de la cabane.
    Beaucoup de personnes ne s en rendent pas compte disant que finalement ils se trouvent très bien chez eux sans nécessité de voir du monde.
    Une différence pourtant entre aimer son chez soi et éviter d aller vers les autres, retrouver nos habitudes d avant ...
    Je me suis trouvée la 1ere fois isolée des enfants et des contacts heureusement une personne me motivait régulièrement pour combattre ce glissement imperceptible de jour en jour et ne pas se cantonner uniquement à cette heure de sortie.
    La suite a été bien plus facile et encore plus facile aujourd’hui pour reprendre mes activités, mes rencontres, mes sorties restaurants, plage et bains de mer.

  • sans porter les mêmes noms, les symptômes sont légions chez pas mal de gens, la peur a favorisé le repli sur soi, dans le confort de sa sécurité, les psy sont surchargés de demandes d'aide ...
    je me sens protégée par le vaccin et je foncerai dans la foule, elle m'a tellement manqué !
    amitié .

  • J'en avais entendu parler, mais je n'en souffre pas.
    Bien à vous.

  • C'est ce qui m'arrive maison , jardin , il y a de quoi faire pour ne pas s'ennuyer , avant le confinement toujours parti au foot féminin pour faire des photos des divers clubs loir et cheriens et environs , je faisait les courses maintenant c'est le drive mon ange gardien y va nous ne voyons personne parfois en une semaine même pas un élu J'étais tellement actif en période travail , loisirs associatifs avec mes boîtiers trois sorties par mois c'est tout nous attendons les ordres de levée de couvre feu pour repartir dans la maison familiale pour changer d'air .

  • Ca alors ! Jamais entendu parler ni de l'un ni de l'autre ! Mais plutôt des gens qui filent par le 1er train pour être sur la côte méditerranéenne.

  • J'ai ri des Messieurs-dames que leurs éventuels partenaires devraient aller tirer de leurs coquilles...
    (s)ta d loidu cine, "squatter" chez dasola

  • Nous sommes bien à la maison, loin de l'agressivité ambiante. J'ai du mal à comprendre ce besoin si impérieux d'aller prendre un verre en terrasse ... Je réserve mes sorties et activités à d'autres plaisirs bien plus enrichissants. Les rencontres avec les enfants sont calmes et pourtant joyeuses.
    Que demander de plus ? La vie peut être si belle sans ces plaisirs qui ne durent qu'un tout petit moment.
    Bonne fin de soirée, Marie, et gros bisous.

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