Pour compléter la note de samedi dans laquelle on évoquait l’enlèvement par les services municipaux du container gris de déchets plastiques, voici le cheminement qui permis de ne plus en avoir besoin. On peut tout d’abord faire un aparté : les containers privés, c’est un peu comme les caddies des supermarchés : plus c’est grand, plus on a tendance à les remplir…
Progressivement, les flacons ou tubes plastiques de la salle de bain (dentifrice, shampooing, gel douche) ont pratiquement disparu. On en achète encore, mais à l’occasion parce qu’on aime bien certains produits ; on privilégie le shampooing solide, le dentifrice solide, le pain de savon, et pour la peau et du visage et du corps, on utilise surtout des huiles présentées dans des flacons en verre.
On fabrique soi-même la lessive pour le linge et on met du vinaigre en assouplissant. Bien sûr, on a toujours en dépannage de la lessive industrielle qu’on consomme assez peu.
Mais surtout, surtout, les bouteilles d’eau en plastique , c'est terminé. On boit l’eau du robinet et quand on veut boire de l’eau gazeuse, on l’achète en bouteilles en verre.
Il y a encore du plastique dans la maison : les bidons de vinaigre ou ceux de savon noir, de temps en temps un flacon de produit ménager qu’on aime bien parce qu’on l’a toujours utilisé … Mais pas suffisamment pour remplir un container de 120 litres, ramassé tous les quinze jours. Le peu de déchets plastiques peut être jeté dans le container municipal qui se situe sur la place au coin de la rue quand on y a va pour jeter le verre.
D’où la question du lundi : à propos des bouteilles d’eau, que faites-vous ? plastique, verre, ou pas ?
SE POSER DES QUESTIONS / La question du lundi - Page 68
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La question du lundi : bouteilles d’eau en plastique, en verre, ou pas.
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La question du lundi : dans le bon sens.
De très nombreuses personnes ont le sentiment d’être écartelées entre leurs aspirations et leur mode de vie, ce qui n’est pas facile à vivre et fait s’accumuler la complexité.
Ici, on a vraiment bien avancé dans la compréhension de ce qu'on voulait vraiment. Bien sûr, il a fallu faire un tri drastique, tomber plusieurs fois, se relever plus moins lentement, accepter les égratignures voire les cicatrices. Mais, somme toute, quand on regarde en arrière, tout ceci est assez positif et, surtout, permet d’être plus tranquille. Il y a encore du chemin à faire mais, au moins, on est dans le bon sens désormais.
Avez-vous bataillé pour être dans le bon sens de votre vie ?