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dentifrice solide

  • La question du lundi : bouteilles d’eau en plastique, en verre, ou pas.

    Pour compléter la note de samedi dans laquelle on évoquait l’enlèvement par les services municipaux du container gris de déchets plastiques, voici le cheminement qui permis de ne plus en avoir besoin. On peut tout d’abord faire un aparté : les containers privés, c’est un peu comme les caddies des supermarchés : plus c’est grand, plus on a tendance à les remplir…
    Progressivement, les flacons ou tubes plastiques de la salle de bain (dentifrice, shampooing, gel douche) ont pratiquement disparu. On en achète encore, mais à l’occasion parce qu’on aime bien certains produits ; on privilégie le shampooing solide, le dentifrice solide, le pain de savon, et pour la peau et du visage et du corps, on utilise surtout des huiles présentées dans des flacons en verre.
    On fabrique soi-même la lessive pour le linge et on met du vinaigre en assouplissant. Bien sûr, on a toujours en dépannage de la lessive industrielle qu’on consomme assez peu.
    Mais surtout, surtout, les bouteilles d’eau en plastique , c'est terminé. On boit l’eau du robinet et quand on veut boire de l’eau gazeuse, on l’achète en bouteilles en verre.
    Il y a encore du plastique dans la maison : les bidons de vinaigre ou ceux de savon noir, de temps en temps un flacon de produit ménager qu’on aime bien parce qu’on l’a toujours utilisé … Mais pas suffisamment pour remplir un container de 120 litres, ramassé tous les quinze jours. Le peu de déchets plastiques peut être jeté dans le container municipal qui se situe sur la place au coin de la rue quand on y a va pour jeter le verre.

    D’où la question du lundi : à propos des bouteilles d’eau, que faites-vous ? plastique, verre, ou pas ?

  • Moisson.

    Raccommoder des chaussons dont les dessus de pied s’étaient décousus et un drap qui a un accroc.
    Ranger les papiers administratifs.
    Ecrire trois pages.
    Recevoir du courrier.
    En passant Allée Kisling, faire un bouquet de jasmin d’hiver.
    Commencer à utiliser du dentifrice solide.
    Laisser de côté (juste un peu), le pull irlandais pour tricoter deux couvertures bébés pour les jumeaux qui s’annoncent. Un garçon et une fille.
    Aller regarder la mer alors qu’il fait grand soleil en pensant à Patti Smith qui, dans Dévotion, raconte son émotion de pouvoir regarder pendant une heure le manuscrit du Premier homme, de Camus. De lui, ici, on a la mer.