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méréville - Page 2

  • Moisson.

    Donner la méréville à une amie qui en avait cherché une en vain à plusieurs reprises sur son marché. Recevoir la promesse d’avoir prochainement un pot de cette confiture délicieuse.
    Ecrire plusieurs pages.
    Ressortir le chapeau de pluie et aller sauter dans les flaques le long de la corniche.
    Avec de belles Reine des Rainettes faire des pommes au four bien parfumées à la cannelle.
    Ranger l’armoire pour qu’en l’ouvrant, tout soit bien plié, bien rangé, bien en ordre.

  • Méréville et lecture.

    A la ferme, prendre une méréville pour faire de la confiture. Elle pèse 2,9 kg. Tailler à ce sujet une bavette avec le maraîcher. L’un met du citron, mais cette année, les citrons, ça n’a rien donné. L’autre met un peu d’orange et quelques étoiles de badiane. Puis on parle des pépins de la méréville qu’il faut enlever et cela fait partie de la préparation de la confiture, ces pépins qui glissent entre les doigts.
    Pendant ce temps, deux petites filles qui attendent avec leur papa, lisent les étiquettes à voix haute. L’aînée sait déjà lire et guide sa petite sœur qui épelle les lettres : é – c – h – a – l – o – t – e – s, échalotesse, dit-elle. Et l’aînée de la corriger en lui disant : Non, échalotes. Puis elles poursuivent leur lecture : pommes de terre, laitue, courgettes, aubergines, nectarines, poivrons. Pour les féliciter d’avoir bien lu, le maraîcher leur donne à chacune une belle pomme bien rouge dans lesquelles elles mordent en riant.