Bouillabaisse du pauvre.
Fruits.
Recette de la bouillabaisse du pauvre comme on l’a apprise de Gabrielle :
Dans le gros faitout, faire revenir dans de la graisse des oignons et un poireau. Ensuite, rajouter les tomates. Ne pas oublier que les tomates doivent être bien mûres, pelées et épépinées. Remuer. Après, c’est-à-dire quand ça commence à être un peu cuit, hein, rajouter les pommes de terre coupées en gros morceaux. Saler. Bien poivrer. Rajouter un peu de bouillon de légumes mais il ne faut pas qu’il y ait trop de liquide. Laisser cuire à peu près trois quarts d’heure. Pendant ce temps, préparer dans le mortier un aïoli et le mettre au frais. On peut y mettre du safran aussi. Couper le pain et le faire griller. Quand la préparation est cuite, baisser le feu et veiller à ce qu’il y ait assez de jus. Mettre la table. Il faut des assiettes creuses. Appeler les convives et quand ils sont installés, ils se préparent des petites tartines d’aïoli qu’ils posent dans leur assiette. Casser les œufs bien frais sur le dessus des légumes. Quand les œufs sont prêts (cuits et pochés), les attraper avec les légumes et du jus avec une louche et les verser dans l’assiette.
Coupe à fruits : raisin, prunes, brugnons, pommes.
Bonheur du jour - Page 392
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Menu du dimanche : la bouillabaisse du pauvre.
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Encore une moisson.
Ecouter Pierre Michon parler de Rimbaud et de Faulkner.
Traverser la rade et s’installer en terrasse place Pierre Puget.
Ecouter quelqu’un qui apprend depuis quelques mois à prendre soin de sa santé physique et mentale et se réjouir de son sourire.
Apprendre qu’il va bientôt pleuvoir.
Brosser les chats.
Réserver les œuvres complètes de Flannery O’Connor à la médiathèque de Chalucet.
Terminer la relecture de 533 Le livre des jours, de Cees Nooteboom.
Aller à la Biocoop remplir les deux gros bocaux de riz.