Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

eric fouassier

  • Lectures, farcis, chapeau



    Lectures :
    « Avec les fées », de Sylvain Tesson ; quelle bonne idée d’avoir illustré le voyage de cartes ! D’autant qu’elles évoquent celles qu’on faisait à l’école ou au collège en décalquant la carte d’un livre, en repassant soigneusement les traits à l’encre noire, en marquant les bords de mer et d’océan avec le crayon bleu.
    « La fileuse de verre », de Tracy Chevalier ; un roman exaltant qui s’étale sur plusieurs siècles, dans le décor des verreries de Murano.
    « Le chant maléfique » d’Eric Fouassier ; quatrième opus de la série des enquêtes de Valentin Verne, du Bureau des Affaires Occultes.

    Cuisine : Farcis d’été pour une grande table sous les pins ; pommes de terre, courgettes, aubergines, poivrons. En dessert, crème au chocolat et tarte à l’abricot.

    Chapeau : Remettre des dizaines de fois le chapeau sur la tête d’un petit bout de quelques mois qui devient très alerte pour l’enlever et le jeter le plus loin possible.



  • Ouf, Canicule et lecture, l’espérance est verticale.


    Ouf : Sur la plage, se rendre compte qu’on n’a pas perdu la main pour faire moult châteaux de sable et étoiles de mer.

    Canicule et lecture : Profiter de quelques après-midi de canicule pour dévorer le troisième opus du "Bureau des Affaires occultes", d’Eric Fouassier.

    Espérance : En regardant les fermes (éléments de la charpente en bois) être installées sur le toit de Notre-Dame, se souvenir d’un texte publié ici il y a maintenant quatre ans et avoir envie de le faire relire :

    Vendredi 19 avril 2019 : L’espérance est verticale.

    Quand on a pu voir l’intérieur de Notre Dame de Paris, le constat était implacable quant à l’étendue des dégâts. Pourtant, au fond de la nef, une croix encore intacte, presque brillante dans toute cette suie.
    Quelles que soient les croyances des uns et des autres, elle symbolise ce qu’est l’espérance : rien n’est jamais totalement détruit. Il est peu probable qu’on puisse faire table rase après un drame, personnel ou collectif. Il faut poursuivre sa route à partir de ce qui reste, désormais si fragile. Et ce qui reste permet au regard de voir un peu plus loin et plus haut. Cette croix a au-dessus d’elle ce trou béant dans la voûte. De toute éternité, dans toutes les civilisations, les cultures, les croyances, c’est vers le ciel qu’on se tourne pour espérer, questionner, réfléchir. Car l’espérance est verticale.