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katherine mansfield

  • Emily Dickinson, entre Imperia et Ospedaletti, Katherine Mansfield.



    Lecture : Sur la terrasse ensoleillée, Les villes de papier : une vie d’Emily Dickinson, de Dominique Portier et relecture de Chambre avec vue sur l’éternité, de Claire Malroux, toujours sur Emily Dickinson.

    A pied : Entre Imperia et Ospedaletti, marcher longtemps sur la promenade qui longe la mer ; regarder le ciel, les immenses caoutchoucs, les citronniers et les orangers chargés de fruits, les aloès magnifiques, le calme horizon et, sur la plage d’Ospedaletti, en plein soleil, penser à Katherine Mansfield qui est certainement venue se promener là, sur le sable.

  • Montagnes enneigées, Katherine Mansfield, caoutchouc, citronnier, palmiers.

    Se tenir tout près de grands mimosas en pleine floraison et au moment où on écarte des branches ployant sous les fleurs pour aller se lover encore plus au cœur des panicules jaunes, voir, dans l’horizon bleu ensoleillé, les montagnes enneigées.
    Penser à Katherine Mansfield alors qu’on se promène sur la plage où clapote un tout petit ressac.
    En allant çà et là dans les rues tranquilles, croiser
    un caoutchouc somptueux, presqu’aussi haut qu’un chêne et le saluer avec respect,
    un citronnier chargé de dizaines de citrons, non, de centaines de citrons au moins ; il est immense !
    et lui souhaiter que ces fruits miraculeux soient tous cueillis
    quelques palmiers qui ont déjà poussé bien haut, vraiment très haut, sans doute parce qu’ils espèrent qu’un soir, s’ils sont suffisamment près d’elles, quelques étoiles viendront se poser sur leurs palmes pour qu’ils puissent papoter, ce qui rendra le temps de la nuit moins long.