Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

notre dame du mai

  • Toujours tout redécouvrir, impérissable.


    Toujours tout redécouvrir : Partir marcher vers Notre Dame du Mai en partant de la Guardiole et faire ce chemin arpenté si souvent depuis des années comme si c’était la première fois : découvrir la mer en contrebas de la falaise, entre les pins, et s’en émerveiller ; suivre les sentiers bordés de lentisques, de chênes-lièges ou d’oliviers et aimer savoir qu’après une petite montée ou un léger virage il y aura un nouveau paysage à découvrir ; regarder au loin l’île des Embiez et se promettre d’y retourner bientôt ; écouter les oiseaux piailler sans chercher à les surprendre pour ne pas risquer de leur faire peur ; regarder un gros rocher, celui qu’on a souvent vu en retrait de la sente, et se raconter encore comment il a pu arriver là.

    Impérissable : Parler avec quelqu’un qui a gros cœur de ce qu’il n’est pas forcément utile de prendre sa revanche parce que ce n’est pas cela qui console. Il y a des revanches, oui. Elles arrivent un jour ou l’autre, portées par des valeurs qu’il faut garder précieusement en soi même si ce long temps semble une jachère inutile. Mais ce n’est pas facile, c’est vrai.

  • 4ème et 5ème recensions de « Ma vie était un fusil chargé », jour d’avril, jour de Mai.


    4ème recension de Ma vie était un fusil chargé : Une présentation toute en pudeur sur le blog de Pahi. Un grand merci. Vraiment.
    Et ce matin même, une 5ème recension sur le blog En lisant, en voyageant ! Un grand merci !

    Jour d’avril, jour de Mai : Un après-midi d’avril, ensoleillé et doux au point qu’on se croit en mai, monter à pied à Notre-Dame-du-Mai. De part et d’autre du chemin en allant vers le sémaphore, d’abord, puis la chapelle, ensuite, de volumineux buissons de cistes blancs, de lavandes papillons, de genêt, de lavatères d’un jaune presque blanc et, au milieu de tout cela, douces veilleuses se balançant au gré du vent, les asphodèles. C’est si beau.