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Encore un trésor.

Comme on a un projet d’atelier tricot, une jeune collègue amène le tas d’aiguilles à tricoter qu’elle a trouvé dans la maison qu’elle vient d’acheter. Dans la caisse en bois, les aiguilles sont en plastique, dans ce cas elles sont jaunes ou vertes, ou bien en métal, et alors elles sont grises. Les plus nombreuses sont les plus fines car, antan, les ouvrages étaient plutôt légers, mais ils étaient très chauds.
C’est un autre trésor que celui-là, dans cette caisse qui ressemble à un tiroir orphelin du meuble qui l'abritait. Celui de mains à l’ouvrage, sans relâche, d’un temps où on ne restait jamais sans rien faire, jamais les bras ballants, jamais les bras croisés.
On tentera de redonner vie à ces aiguilles.


Commentaires

  • Je ne sais pas vraiment tricoter. Ma mère pourtant a des doigts de fée. Petite, j'ai porté nombre de pulls qu'elle tricotait inlassablement. Je ne me rendais pas compte de tout ce travail et souvent, je n'avais qu'un mot à la bouche: "ça pique!". :-)
    Merci pour me rappeler tout cela et belle journée. Bises alpines.

  • J'ai connu ces tas d'aiguilles multicolores et métalliques ; ma mère faisait partie des femmes qui cousaient ou tricotaient sans arrêt ; j'ai d'ailleurs appris à tricoter et je me débrouillais bien. Seuls des problèmes de dos m'ont fait arrêter à regret, relativement jeune.

  • Quel dommage que j'habite si loin .......

  • ce "on" qui ne restait jamais les mains inactives étant bien sûr l'élément féminin de la maisonnée, les hommes avaient droit au repos après le travail, le fauteuil, le journal, la pipe, la télé... ;-)
    c'est en tout cas ce que j'ai vu chez ma grand-mère ;-)

  • Dans la salle d'attente du généraliste, une jeune femme tricotait. Il y a longtemps que je n'avais pas vu une femme tricoter, c'est beau :)

  • C'est à dire qu'aujourd'hui, nous avons la grande chance de pouvoir tricoter pour le plaisir et non plus par nécessité, avec des laines qui ne grattent plus (clin d’œil à Dédé) et et de pouvoir glander et faire la cigale. Le Monsieur qui fume la pipe en lisant son journal tranquillement et la Dame qui tricote est un monde qui ne me fait absolument pas envie (clin d’œil à Adrienne).
    Alors Vive Aujourd'hui.
    Des bises.

  • Bonjour ! Le tricot , c'est bien loin ,lorsque mes enfants étaient petits ... J'aimais bien !
    Je ne reste jamais les bras ballants , il me faut toujours quelque chose dans les mains ,maintenant c'est un livre ou des mots croisés avec parfois un oeil à la télé ou sur le jardin où passent les oiseaux et les chats ... j'ai parfois l'impression de faire plusieurs choses en même temps , ce n'est pas très bien mais ça ne me gêne pas !
    Très bonne journée .

  • Voilà que je pense à ma grand-mère : ses pelotes, ses aiguilles et son aiguille a crochet. Elle m'avait appris, j'ai oublié : dommage

  • Le tricot ne passe pas decmide ét les aiguilles vont cliqueter à nouveau

  • Je connais bien cela, j'ai hérité des aiguilles à tricoter de mes deux grand-mères et de ma mère…

  • "Jamais les mains inoccupées", je suis de celles qui continuent à l'appliquer.
    Merci pour ce beau partage.
    Passez une douce soirée.

  • Tellement poétique !!! :-)

  • Bien sûr, impossible pour les femmes d'être sans rien faire à peur d'être taxées de males femmes, de femmes oisive, ou, au meilleur des cas, de femmes aisées...Une femme ne pouvait pas rêver....

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