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  • La question du lundi. Se délester, encore et encore.


    Dans le langage journalistique, un marronnier est non seulement un fait qui revient régulièrement mais auquel on ne peut échapper car il fait de l’audience.
    Dans la vie de chacun, il y a des marronniers. Elles prennent souvent la forme de contraintes et donnent l’impression qu’on est enfermé dans un cycle d’obligations qui ne finira jamais et qu’on subit en faisant semblant, en quelque sorte mais dont on bénéficie aussi puisqu’on en a des bénéfices secondaires, comme le fait de ne pas être trop seul ou d’être considéré comme trop moche ou… bref, c’est selon.
    Mais on peut se délester de cela. On a déjà abordé ce thème dans une ancienne question du lundi. Dire non quand on a envie de dire non ; dire oui quand on a envie de dire oui. Le chemin de la liberté intérieure est long, son climat est assez aride mais on acquiert une richesse qui ne peut pas toujours se quantifier.

    D’où la question du lundi : Se délester, pour vous, c’est pas besoin, pas encore commencé, en cours mais c’est pas gagné, en bonne voie, terminé ?

  • Moisson du dimanche 29 novembre 2020.

    Aller cueillir quelques branches de lentisques, de pins et d’oliviers pour la couronne de Noël.
    Allumer la première bougie de l’Avent.
    Préparer un menu simple pour le repas du premier dimanche de l’Avent (gratin dauphinois, rôti, mâche, pommes au four).
    Faire le courrier qu’il sera possible d’aller poster à pied à plus d’un kilomètre.
    Se plonger, une après-midi de pluie, dans L’été des quatre rois de Camille Pascal.
    Laisser venir les choses comme elles viennent, oui, mais ne pas se laisser emporter par elles vers là où on ne veut pas aller.
    Constater que le compteur d’Avec la vieille dame atteint les 87….