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Vie et destin, Gustave Roud, grappes.

Lectures en cours : « Vie et destin », de Vassili Grossman, la « Correspondance Philippe Jaccottet /Gustave Roud » et « Campagne perdue », de Gustave Roud dont voici un très court extrait : « … peut-être la route nous sera-t-elle rouverte vers un monde qui était encore celui de la lenteur et du pas, du pas humain. Le vôtre, laboureurs et semeurs anciens, ô mes amis faucheurs de froments mûrs et d’herbages, oui, votre pas. » (1)

Grappes : Dans les vignes du Domaine de la Sanglière, admirer les lourdes grappes de raisins portées sereinement par de larges ceps à l’écorce ridée.



(1) Campagne perdue, in Gustave Roud. Textes & Archives, dir. Claire Jaquier et Daniel Maggetti, 2022.


Commentaires

  • en effet vu la chaleur les vendanges ne vont pas tarder
    bonne journée Marie quel que soit ton pas!

  • Bonjour, chère Barbara, et merci pour ce commentaire. La chaleur revient, effectivement !
    Bon week end.

  • Récemment, j'ai dévoré trois livres de Bruno Pellegrino, tous merveilleux, dont Là bas est un mois d'automne, Il évoque la vie de Gustave et de sa soeur Madeleine, alors c'est comme cela que je connais ce poète et photographe. Merci!

  • Bonjour, chère Keisha, et merci pour ce commentaire. J'ai entendu parler de ce livre, oui et il est fort possible que je le lise à un moment ou à un autre (il est à la médiathèque). La poésie de Gustave Roud est à lire, vraiment.
    Bon week end.

  • J'ai lu et beaucoup aimé "Là-bas, août est un mois d'automne" évoqué par Keisha. Je suis plongée dans une lecture qui fait sûrement écho à la vôtre d'une certaine manière "Faire paysan" de Blaise Hofmann, sur la manière dont le monde paysan suisse a été bouleversé ces cinquante dernières années. C'est très intéressant et touchant.

  • Bonjour, chère Aifelle, et merci pour ce commentaire. Il y a donc tout un mouvement d'écrivains suisses qui ont décrit la décomposition de ce monde...
    Bon week end.

  • C'est le grand sujet du moment. Comment vont vivre nos petits-enfants (voire nos enfants) dans 50 ans ? Sujet angoissant : on fonce ou on ralentit?

  • Bonjour, chère Chêne vert, et merci pour ce commentaire. Il me semble urgent de ralentir, du moins à mon humble avis.
    Bon week end.

  • j'aime Gustave Roud j'ai lu il y a quelques années son journal
    je retiens la correspondance que je vais tenter de trouver
    Quant à Vie et Destin vous le retrouverez sur mon blog à la rentrée

  • Bonjour, chère Dominique, et merci pour ce commentaire. Je pense "tout" lire de Gustave Roud !
    Bon week end.

  • déjà lu Gustave Roud que j'affectionne... bonne journée dans la lecture et la contemplation

  • Bonjour, chère Sedna, et merci pour ce commentaire. Cela ne m'étonne pas que vous aimiez Gustave Roud.
    Bon week end.

  • Grâce à toi je vais dećouvrir Gustave Roud dont le pas lent me plaît déjà beaucoup. Merci, bonne journée, on déguste les raisins ensachés qui sont délicieux.

  • Bonjour, chère Colo, et merci pour ce commentaire. Je suis sûre que tu aimeras la poésie de Gustave Roud.
    Bon week end.

  • Il fait chaud vers chez toi, le raisin et tous les fruits mûrissent vite,
    j'aime beaucoup ta phrase : " admirer les lourdes grappes de raisins portées sereinement par de larges ceps à l’écorce ridée."
    Belle journée

  • Bonjour, chère Livia, et merci pour ce commentaire. Des mots très gentils.
    Bon week end.

  • merci de ces jolies phrases ( la citation et la tienne ). Pour une fois, je ne commente que l' après-midi, de retour de mes petites vacances. A bientôt !

  • Bonjour, chère Irène, et merci pour ce commentaire.
    Bon week end !

  • J'aime la lenteur, mais je n'idéalise pas les campagnes d'autrefois. Pour avoir connu la vie dans une ferme, dans les années 60/70, je sais la fatigue, les soucis, le manque d'argent, de confort et parfois l'isolement que cela représentait. Nos enfants et petits-enfants auront une vie que nul ne peut vraiment prévoir... J'espère qu'il y aura des sursauts des consciences. Belle description de la vigne !

  • Bonjour, chère Cathie-Flore, et merci pour ce commentaire. Comme vous, je sais que la vie à la campagne n'est pas facile et je pense que Gustave Roud le savait bien aussi puisqu'il y vivait aussi. Toutefois, il a la nostalgie de ce monde car l'humain était l'aune utilisée et le travail des champs était reconnu comme indispensable pour nourrir les hommes.
    Bon week end.

  • Un beau texte de Gustave Roud, qui s'accorde à merveille avec la majesté des ceps portant leurs lourdes grappes.

  • Bonjour, chère Mâyâlilâ, et merci pour ce commentaire.
    Bon week end.

  • quelques grappes sont déjà matures chez moi, et je savoure ...
    amitié .

  • Bonjour, chère Marie-Claude, et merci pour ce commentaire. Régale-toi bien !
    Bon week end.

  • Bonne journée. Pas trop de lenteur pour nous actuellement. Ni trop de lectures... mais de repos au maximum néanmoins.
    Août est familial et intense.

  • Bonjour, chère Jo-Elle, et merci pour ce commentaire.
    Bon week end.

  • Coucou Bonheur Marie
    Chez nous dans le Bordelais, 90% des vignes touchées par le mildiou….

  • Bonjour, chère Thaïs, et merci pour ce commentaire. Quelle catastrophe !
    Bon week end.

  • Un joli ,extrait sur l'art du cheminement...

  • Bonjour, chère Capucyne, et merci pour ce commentaire.
    Bon week end.

  • Bonjour Madame Bonheur.
    Gustave Roud fut ausi un bon photographe : paysage, travail des champs (corps). Du noir et blanc bien entendu.
    Bel été à vous.

  • Bonjour, chère Christw, et merci pour ce commentaire. Son œuvre de photographe commence à être vraiment reconnue. Sur le site qui lui est dédié, ses photos sont présentées.
    Bon week end.

  • Veuillez m'excuser : cher Christw...

  • La lenteur est une jolie façon d'appréhender la vie mais je ne crois pas que les gens dans les campagnes ou montagnes étaient pour cela plus heureux tant leur vie quotidienne était difficile (c'est ce que je constate en Haute-Loire). Toutefois comme partout, aujourd'hui comme hier, il y avait des personnes qui savaient être heureuses du présent et savourer l'instant...Bonne fin de semaine

  • Bonjour, chère Manou, et merci pour ce commentaire. Effectivement, les paysans n'étaient pas forcément plus heureux car leur vie était rude, très rude. En Suisse, l'hiver est long... Mais Gustave Roud voyait dans cette nature que gérait les paysans une sorte d'équilibre qui a été détruit par la "modernité".
    Bon week end.

  • Merci pour ce bel extrait qui me parle.
    Douce et belle journée, Marie.

  • Bonjour, chère Quichottine, et merci pour ce commentaire.
    Bon week end.

  • Merci de nous partager ce très joli extrait. Passez une bonne journée.

  • Bonjour, chère Gaëtane, et merci pour ce commentaire.
    Bon week end.

  • Une belle découverte que je vais m'empresser de connaître davantage.
    Merci Marie.
    Bonne semaine.

  • Bonjour, chère Den, et merci pour ce commentaire. Je suis ravie d'inciter à lire Gustave Roud !
    Bon jeudi.

  • Je viens de terminer le livre de Milan Kundera, La lenteur. Merci pour cet extrait.

  • Bonjour, chère Elisabeth, et merci pour ce commentaire.
    Bon mardi.

  • J'ai suivi le lien vers Gustave Roud, que c'est beau et lumineux, j'y reviendrai... Douce soirée estivale Marie. brigitte

  • Bonjour, chère Plumes d'Anges, et merci pour ce commentaire. Je suis ravie de te faire découvrir Gustave Roud ! Bonnes lectures et bon jeudi.

  • Toujours de belles lectures. Ici en Alsace les vignes de chargent aussi de raisins. Bises

  • Bonjour, chère Andrée, et merci pour ce commentaire.
    Bon mardi.

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