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  • Une phrase à méditer : le courage.

    « Notre vie se contracte et se dilate en fonction de notre courage », Anaïs Nin.


    On a trouvé cette phrase toujours dans L’effet télomère au moment où l’auteur évoque les effets positifs sur le cerveau et la longueur des télomères de l'engagement pris par un groupe de personnes retraitées de s’occuper bénévolement, quelques heures par semaine, de jeunes en difficultés.
    Anaïs Nin. On avait lu cette auteure il y a des dizaines d’années quand son journal avait été édité, ou réédité.
    Le courage. On aime cette qualité. On aime la retrouver chez ceux qu’on côtoie. Si on suit les propos d’Anaïs Nin, on se tient dans une belle posture, droite et vaillante, quand on a du courage.
    Mais dans notre monde actuel, cette valeur est-elle mise en avant ?
    Ici, dans la maison au milieu du vent, on a écrit ce mot sur un petit carton, courage, et on l’a posé sur le bureau, contre le pied de la lampe.

  • Livres du soir et du matin.

    Les projets lecture des prochains jours :
    Pour le soir, toujours des romans policiers. Un beau mystère, de Louise Penny et le dernier Donna Leon. Les huit montagnes attend toujours…. On ne lit pas assez vite.
    Le matin, L’effet télomère, du Dc Elizabeth Blackburn, la suite (et presque la fin) d’Eloge du risque, d’Anne Dufourmantelle, le seconde moitié de Madame Bovary, de Flaubert. On a ressorti Un cœur simple. On a toujours beaucoup aimé ce livre qu’on a déjà relu plusieurs fois. On va relire quelques uns des Contes d’Andersen.