Alors qu’on préparait la question du lundi, on s’est souvenu d’une multitude de questions pour lesquelles on n’a pas vraiment de réponses. De ce fait, en voici quelques-unes. Merci d’avance pour les réponses !
- Pourquoi vend-on les œufs par six, douze, dix-huit, vingt-quatre, quarante-huit, et non pas par cinq, dix, quinze, vingt, etc… Il arrive qu’on trouve des boîtes de quatre œufs, mais jamais des boîtes de trois œufs.
- Pourquoi les plaquettes de beurre pèsent-elles soit 125 gr, soit 250 gr, etc… et non pas 92 grammes, 104 grammes, etc.
- Pourquoi les paquets de café pèsent-ils 250 gr, 500 gr, 1 kg, etc. Et pas 160 gr, 320 gr, etc.
- Pourquoi les porte-partitions ont-ils trois pieds, et non pas quatre, comme les chaises ?
- Pourquoi une ramette de papier contient-elle cinq cents feuilles et pas trois cents, ou deux cent cinquante ou carrément mille ? Pourquoi ?
- Pourquoi doit-on mettre un timbre à 1.05 euros pour un pli allant de 0 à 20 gr, mais deux timbres à 1.05 euros, donc le double, pour un pli pesant 27 grammes, ce qui fait que 7 grammes coûtent aussi cher à affranchir que 20 grammes… Toutefois, si le pli avait fait 99 grammes, il aurait fallu mettre également deux timbres à 1.05 euros, ce qui signifie que 79 grammes coûtent aussi chers à affranchir que 7 grammes… Mais pourquoi donc ?
- Page 7
-
-
Moisson.
Retrouver du dynamisme et de la facilité pour faire les choses comme prendre la route pour aller voir quelqu’un qui est un peu loin.
Organiser un petit atelier pour faire les couronnes de Noël en utilisant les branches de lentisques, d’oliviers, de pins et des petites pommes de pins ramassées dans la forêt. Rajouter de la feutrine rouge, des bois flottés, des rubans verts et rouges.
Poster les premières cartes de Noël.
Echanger avec des amies des recettes de biscuits.
Essayer d’avoir des petites attentions pour tous ceux qui sont toujours fidèles dans les moments difficiles, comme, par exemple, faire un gâteau au chocolat sans gluten quand on sait qu’un ami va passer prendre le café, offrir un pot de miel à un gourmand, prendre le temps de parler avec quelqu’un un peu inquiet.