Ici, on a pris l’habitude de lire à voix haute depuis qu’on avait aidé, en son temps, à l’enregistrement de livres pour des personnes aveugles. C’est ainsi que très souvent on lit la poésie à voix haute, et qu’on n’hésite jamais à partager de cette façon la lecture d’un article du journal. Par contre, le reste, romans, essais, biographies, livres d’histoire, etc. sont lus in silencio comme on disait au Moyen-Age quand cette pratique s’est finalement imposée.
D’où la question du lundi : lisez-vous à voix haute de temps en temps ?
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Moisson.
Lire une première fois Giono furioso d’Emmanuelle Lambert avec une sorte d’avidité, puis le relire en faisant le point sur les livres de Giono qu’on a dans la bibliothèque, ceux qu’on n’a pas, ceux qu’on a lus, ceux qu’on n’a pas encore lus.
Préparer des lasagnes.
Balayer plusieurs matins de suite la terrasse que la tempête de ces derniers jours encombre de feuilles et de branchettes dont on ne sait pas vraiment d’où elles viennent.
Recevoir du courrier et s’installer au bureau en écoutant la 6ème symphonie de Beethoven pour y répondre.
Signer un B.A.T. (bon à tirer).