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  • Camus.

    Regarder un soir un film sur Camus.
    Regarder un autre soir un autre film sur Camus.
    Un matin, regarder la mer Méditerranée en pensant à Camus.
    Une après-midi, relire quelques lettres de Camus à Maria Casarès, d'autres à René Char. Relire quelques passages des Justes, de l'Etranger, de Noces, de l'Eté, de l'Homme révolté, de la Chute, de.... Ecouter sa voix enregistrée lisant des extraits de ses œuvres, lisant son discours du Nobel.
    Se souvenir des passages à Lourmarin devant sa tombe.
    Penser à lui, à cette conscience vive.
    Quelle joie d'avoir si jeune fait connaissance avec cet écrivain lors d'un cours de Français et de ne plus jamais s'en être éloigné.

  • Livres du matin / du sac à main / du soir.

    Le matin, Sagesse de l’herbe, d’Anne Le Maître, avant d’aller marcher dans la colline, en alternance avec Le jeûne, une nouvelle thérapie, de Thierry de Lestrade, un livre qui traînait sur une table de la médiathèque.
    Dans le sac à dos, , poèmes d’Etienne Paulin, un livre qui traînait aussi sur une table de la médiathèque.
    Le soir, Giono furioso, d’Emmanuelle Lambert qui commence par cette phrase de Giono en exergue : « Je tuerais pour écrire. »