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  • Moisson.


    Valider la couverture du roman qui sera publié bientôt.
    Trouver un gros sac d’oranges devant la porte, de quoi faire un bon nombre de pots de confitures.
    Pouvoir sortir un soir pour aller au spectacle.
    Tenir dans ses bras un petit bébé de six mois qui attrape tout ce qui passe à sa portée, en particulier les lunettes qu’on a sur le nez.
    Aller sur la plage, s’asseoir et respirer.
    Dire à quelqu’un qui est dans les tourments qu’on est là, la nuit, le jour, tout le temps.


  • Livres du matin / du sac à main / du soir.

    Le matin, Respire, un témoignage dans lequel l’auteur, Stéphane Haskell, explique comment le yoga lui a permis de retrouver sa mobilité, en alternance avec la nième lecture d’Une année à la campagne, de Sue Hubbell dont on retrouve une phrase soulignée, page 142 : « Comme nombre de mes voisins je suis pauvre. Je vis avec des revenus bien inférieurs au seuil de pauvreté – bien que je n’aie pas l’impression d’être pauvre lorsque les arbres de Judée et les cornouillers fleurissent en même temps. »
    Dans le sac à main, le cahier à la jolie couverture en scrapbooking reçu en cadeau dédié aux notes qu’on prend pour le prochain roman en cours.
    Le soir, toujours Un roi sans divertissement de Giono dont la lecture se savoure parfois ligne à ligne, en alternance avec Qui prend la mouche, de M.C. Beaton, un roman policier so british.