Marauder du mimosa qui dépasse vraiment de beaucoup la barrière du jardin dans lequel il pousse.
Dans la forêt, où les asperges sont abondantes en ce début de février, se régaler du spectacle d’asters en grand nombre et des premiers crocus.
Expliquer à quelqu’un qu’il est préférable de ne pas se préoccuper constamment de ce pensent les autres.
Recevoir un mot de félicitation vraiment très gentil.
Ecouter le vent. C’est le mistral.
Prendre soin de quelqu’un de malade.
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Bleu baleine.
En lisant le bel ouvrage d’Emmanuelle Lambert, Giono furioso, elle cite ce « bleu baleine » que Giono a utilisé dans son œuvre, si expressif, auquel on repense parfois quand on regarde un paysage. Mais où donc Giono a-t-il écrit « bleu baleine » ? Une solution possible : le relire. En passant à la médiathèque, que voit-on justement sur une table, posé là ? Un roman de Giono, Un roi sans divertissement. On l’emprunte, pour éviter d’avoir à le chercher à la maison. Prenant le bateau pour aller balader, on le commence et, page 11 de l’édition Folio :
« Le col de Menet, on le passe dans un tunnel qui est à peu près aussi carrossable qu’une vieille galerie de mine abandonnée et le versant du Diois sur lequel on débouche alors c’est un chaos de vagues monstrueuses bleu baleine … »
Ceci confirme que les livres sont bien vivants.