Éprouver beaucoup de contentement à la lecture du recueil d’Etienne Paulin, Là, trouvé par hasard à la médiathèque. « Ce poème il te regarde d’un drôle d’air et dans le blanc des yeux. » On le rendra sans regret puisqu'on pourra l'emprunter à nouveau quand on en aura besoin.
Après le repas partagé à plusieurs, prendre le temps d’écouter ceux qui ont besoin de parler.
Regarder le ciel, le matin, tout en fouillis comme peut l’être un lit : des nuages de toutes formes, ronds, longs ou larges et de couleurs variées, voilà du rose bonbon vaporeux, voilà du mauve bien laiteux, voilà du gris soutenu, voilà du bleu comme certains yeux.
Amener les trois chats, ensemble, chez le vétérinaire qui fait ainsi le tarif « famille nombreuse ».
Remarquer les premiers amandiers en fleurs, ce qui fait battre le cœur de joie.
étienne paulin
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Moisson.
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Livres du matin / du sac à main / du soir.
Le matin, Sagesse de l’herbe, d’Anne Le Maître, avant d’aller marcher dans la colline, en alternance avec Le jeûne, une nouvelle thérapie, de Thierry de Lestrade, un livre qui traînait sur une table de la médiathèque.
Dans le sac à dos, Là, poèmes d’Etienne Paulin, un livre qui traînait aussi sur une table de la médiathèque.
Le soir, Giono furioso, d’Emmanuelle Lambert qui commence par cette phrase de Giono en exergue : « Je tuerais pour écrire. »