Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

tchekhov

  • Lire, marcher, respirer.

    Relecture : « La Mouette », de Tchekhov, parce que Tchekhov se relit toujours.

    Lecture : « La Reine du labyrinthe », de Camille Pascal. Comme à chaque fois, je suis conquise par l’écriture, la précision des descriptions, le rendu du contexte historique, l’histoire racontée avec brio et, surtout, ces personnages qui prennent vie.

    Marcher : Sur le plateau de Siou Blanc, marcher dans les bois humides où l’humus embaume ce parfum mêlé de feuilles et de terre mouillées, de champignons et de lichens. Parfois, pourtant, en passant au milieu des touffes de thym, l’été se rappelle.


  • Cousettes, troc, bourrache.


    Cousettes : Le club des cousettes se transforme au fur et à mesure de l’après-midi, en club de lectures. Stefànnson, Camus, Pia Pera, Carol Fives, Orwell, Abir Mukherjee… Et la discussion continue tout en se régalant d’une tarte tatin et d’un bon thé. Pendant ce temps, au dehors, le vent souffle tout autour du mûrier platane dont les rameaux commencent à pousser au point de les aplatir et de les étirer en tout sens. Mais, ayant décidé d'offrir l'été prochain une ombre bienfaisante, ils ne cèdent en rien aux bourrasques qui voudraient bien les entraîner au-delà de la clôture.

    Troc : Amandes contre biographie de Tchekhov.

    Bourrache : Croiser une belle bourrache dont les fleurs sont si belles qu’on n’ose même pas en cueillir une, bien qu’on sache qu’elle serait délicieuse. Non : les laisser pour qu’un autre passant puisse les admirer ; les laisser pour qu’elles soient là, tout simplement, si bleues, si étoilées, si belles.