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couronne de l'avent

  • Etonnement de la prodigieusité - nuages qui dansent


    Etonnement de la prodigieusité : Allumer la deuxième bougie de l’Avent, hier dimanche, fait ressentir une sorte de complétude. Il y a aussi dans l’acte de foi l’acceptation du fait qu’on ne comprend pas tout, qu’on ne sait pas tout, qu’on ne peut pas tout analyser, tout savoir, et qu’il est bon de rester dans l’étonnement de la prodigieusité.

    Nuages qui dansent : Dans le ciel tout bleu de l’aube, des nuages roses qui font penser à ces sortes de voiles qu’Isadora Duncan ou Loïe Fuller faisaient danser tout autour d’elles lors de leurs danses serpentines. Et puis le vent se lève et, d’un coup, les voiles roses s’envolent de l’autre côté des toits.


  • Couronne de l’Avent, livre de chevet.


    Couronne de l’Avent : Faite cette année dans un pot de fleurs remisé qu’il a fallu tout d’abord bien brosser avec du savon noir avant de le laisser sécher. Quatre cierges blancs ont été piqués dans un bloc de mousse florale et entourés de feuillages de pins et de lentisques agrémentés de quelques petites boules de Noël dorées. Cette « couronne » trône sur la table maintenant.

    Lecture en cours : Relecture, plutôt. « Eloge du risque », d’Anne Dufourmantelle. Comment se lasser de ce livre ? Comment ne pas y découvrir, à chaque fois, quelque chose d’autre qui tout à coup fait sens ? Deux citations en exergue : « Le risque est beau » (Platon) et « L’instant de la décision est une folie » (Kierkegaard).
    Cette relecture sera longue : « Eloge du risque » est un livre de chevet, de ces livres qu’on laisse sur la table de nuit, qu’on reprend le soir pour les lire ne serait-ce que dix minutes mais auquel on pense et on repense.