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marcher dans la forêt

  • Clair, premier jour de l’automne

    Clair : Etre au clair avec soi-même. Ce qui permet de non seulement de faire face de la meilleure façon possible à ce qui arrive mais de savoir ce qu’il y a à envoyer balader afin de n’être encombré par rien ; car en fait, être au clair avec soi-même, c’est n’avoir rien à prouver aux grincheux.

    Premier jour de l’automne : Chapeau de pluie sur la tête, imperméable sur le dos, marcher dans la forêt en respirant bien et en souriant de cette possibilité d’être là, dans ce bois, debout, dans l’accueil de ces saisons qui se succèdent. O, ma Terre, je te bénis !

  • A l’orée du bois, l’avis d’une lectrice d’Aussitôt que la vie.


    A l’orée du bois : Il fait encore bien chaud pour que les massifs forestiers soient largement ouverts mais on peut aller y faire quelques pas. Déjà, rester à l’orée du bois est un bienfait : d’un côté, les maisons et la route sinueuse, de l’autre, les arbres qui veillent sur le monde. Hier, leur silence semblait sacré comme si on entrait dans un sanctuaire.

    Emotion : Quelques mots d’une lectrice d’Aussitôt que la vie : « je l’ai lu d’une traite, quelques passages sont des bijoux, l’impression que je retiens c’est le mot « vibrant », il faut continuer. » Merci.