On savait que La fraîcheur de l’herbe, d’Alain Corbin, serait une belle lecture. C’est pour cela qu’on avait pris ce livre puisqu’on avait salle d’attente. Mais c’est bien mieux. Les toutes premières pages citent Thoreau, Emerson, Jaccottet, Bonnefoy, Giono, Ponge, Ronsard, Virgile, Gracq, Char, Whitman…. Et Flaubert, et Hugo, et Dürer…On est en pays connu ! On ajuste bien son dos au dossier de la chaise en plastique, et on se love dans le livre.
Commentaires
Un titre que j'ai noté et que j'imagine quasiment indispensable ..
comme il est plaisant de lire dans un livre que l'auteur connait nos auteurs appréciés ! L'attente fut moins longue au plaisir de lire ... je suppose !
amitié .
Belles, très belles références pour une lecture qui a dû être magnifique.
Que de livres en un seul, c'est fantastique !!!
Un bonheur que je me promets... Merci du partage.
Les références vous toucheront également, je crois qu'elles sont vôtres aussi.
Bon dimanche.
Tentant! Je note. Merci et bonne continuation de lecture!
Ce plonger dans un livre et se sentir aussi bien que si l'on conversait avec un ami de longue date, ça c'est une belle lecture
Amicalement
Claude
Le titre à lui seul promet de belles émotions .
Livre présent à la bibli et bien sûr, noté!!! Vous confirmez...
Belles références !
Belle lecture qui ne perd pas son temps à attendre !
merci Marie
un livre que j'ai aimé avec le petit reproche du trop plein de citations
Un livre qui répond à l'attente, une attente de choix.
Le titre procure d'emblée un bien être. Je n'en avais pas entendu parler, merci pour la découverte. Bonne soirée
Un si beau titre, qui m'a donné envie d'en savoir plus sur l'auteur...Qui m'a donné envie de découvrir ses autres ouvrages, et qui me donne envie de vous dire merci, une fois de plus, pour ces superbes références.
tant de livres à lire, encore, tous indispensables, et si peu de temps... j'ai voulu relire Giono il a peu, je n'ai pas aimé son écriture et je me couvre la tête de cendres, parce que ce est pas possible pour qui a écrit "Quand on se penche sur ces trous d'eau, on voit d'abord le monde renversé des arbres et du ciel. Là, j'ai compris pourquoi les jeunes filles se noyaient : c'est la porte d'un pays, c'est un départ ; sous l'eau sont des nuages, et des arbres, et des envols d'oiseaux, et des fleurs. Un peu de courage, même pas du courage, laisse faire le poids de cette chair ... " "
Je note ce livre, à défaut de l'avoir lu.
Merci pour le partage.
Passez une douce journée.