8ème recension de Ma vie était un fusil chargé sur le blog A Sauts et A Gambades. Cette recension se fera en plusieurs publications, ce qui est très original ! Un grand merci !
Vert d’Espérance : Au pied du Coudon, les vignes s’épanouissent. Leurs feuilles sont de ce vert d’Espérance qui parle du printemps et de ce que la vie peut être forte, en dépit du froid, de la pluie, du ciel gris et de ce que notre monde peut avoir de si cruel parfois. Voilà pourquoi, on profite de l’arrêt du car pour descendre contempler ces feuilles palpitantes, le temps que le car suivant arrive.
Commentaires
Tu imagines comme c'est beau autour de nous, tout ce vert tendre de la forêt de Rambouillet. Plus le muguet partout au pied des arbres... Pas trop en avance cette année.
Bon vendredi
Bonjour, chère Jo-Elle, et merci pour ce commentaire. J'imagine bien ! J'ai parfois fréquenté cette belle forêt !
Bonne après-midi.
descendre du car pour contempler la nature et attendre le car suivant, quelle belle idée !
et aussi de commenter ton livre au fur et à mesure, j' attends la suite avec patience
bonne journée
Bonjour, chère Irène, et merci pour ce commentaire. C'est une idée très originale, effectivement. Je ne sais pas quand il y aura la suite ni quel thème évoqué dans le livre sera choisi.
Bonne après-midi.
que du bonheur tout cela !
merci de ces partages
Bonjour, chère Barbara, et merci pour ce commentaire.
Bonne après-midi (au milieu des fleurs de ton jardin !)
Ah, le Coudon, il fut mon étoile lorsque je me promenais à pied ou à cheval. Il était omni présent et rassurant. Je n'étais pas perdue !
Bonjour, chère Chêne vert, et merci pour ce commentaire. C'est exactement ce que je ressens par rapport au Coudon : il rassure.
Bonne après-midi.
Vos mots font tellement écho à mes propres émotions ... Tellement ... En ce premier mai, j'ai profité de ce soleil revenu pour me rendre dans les sous bois encore bleuis de jacinthes sauvages que le frileux avril a conservé. Le printemps murmure , palpite bien au-delà de la folie des hommes Ces murmures sont présents et tellement rassurants.
Merci pour cette belle lumière.
Bonjour, chère Véronique, et merci pour ce commentaire. Quel plaisir de partager ainsi des émotions quand, en pleine nature, notre cœur palpite.
Bonne après-midi.
Merci pour ces mots réconfortants...
Bonjour, chère Sedna, et merci pour ce commentaire. Avec plaisir !
Bonne après-midi.
Merveilleux billet où le printemps a pris son pinceau pour finaliser de mettre du vert dans la nature. Quel bonheur. Merci.
Bonjour, chère Denise, et merci pour ce commentaire.
Bonne après-midi.
J'aime aussi beaucoup ce vert printanier tellement clair et profond à la fois, la fragilité des petites feuilles à peine défroissées...oui prendre le temps d'observer, d'emplir nos yeux de beautés pour oublier un peu la dureté de notre monde. Contente de savoir que ton livre suit son chemin...
Bonjour, chère Manou, et merci pour ce commentaire. Mon livre suit son petit chemin, tranquille et lent.
Bonne après-midi.
Dans une chronique de Chantal Thomas, "L'émotion du vert tendre", j'ai lu qu'au Moyen Age, on devait avoir avec soi, en mai, « un rameau vert, une petite branche de feuillage, cueillie de frais chaque matin ». La personne qui n’en avait pas était aspergée d’eau ou recevait un gage. Voilà qui va bien avec ta pause entre deux cars.
Bonjour, chère Tania, et merci pour ce commentaire. Une tradition que j'ignorais ! Mais je ne sais pas si je pourrais cueillir ainsi des rameaux si neufs, si prometteurs de feuilles qui ombrageront des fruits ou des moments de lecture durant l'été...
Bonne après-midi.
Je salue le Coudon qui veille sur ma commune et m'offre ses 700 m comme fond d'espace avec sa base de surveillance sur la Méditerranée.
Prendre le temps entre deux cars d'admirer la nature que nous voyons défiler derrière une vitre…
Beau moment de partage
Bonjour, chère Angedra, et merci pour ce commentaire. Je vois le Coudon chaque jour aussi ; il fait partie de mon paysage.
Bonne après-midi.
Ces feuilles encore tendres qui "palpitent" comme un cœur gorgé d'espérance... C'est très beau. Par ma fenêtre parisienne, un ciel dessiné au fusain. Vous avez dit mois de mai ?
Bonjour, chère Triskell, et merci pour ce commentaire. Ici aussi, le printemps a eu du mal à s'installer. C'est la raison pour laquelle, je crois, ce vert tendre m'a appelée.
Bonne après-midi.
Ton livre se propage, bravo.
Ici le temps est frais mais que l'herbe est belle. Bises
Bonjour, chère Andrée, et merci pour ce commentaire. Mon livre suit son petit chemin, tranquille, lent et... surprenant.
Bonne après-midi.