Chanter pour rendre hommage à quelqu’un.
Poursuite de l’opération baleine évoquée sur ces pages il y a quelque temps, visant à limiter l’utilisation du plastique : utiliser systématiquement maintenant du papier-toilette proposé dans un emballage en papier. Donc, un emballage plastique en moins.
Expliquer à quelqu’un pourquoi et combien on croit dans l’action individuelle. Bien sûr, à soi tout seul, on ne peut pas changer le monde. Mais comme il est important d’être en accord avec soi-même, d’être fier d’un petit pas, d’un petit progrès ! Se dire : « Ah ! j’ai réussi cela ! » (action minuscule, mais on a le droit de s’autoféliciter…)
Le matin, en ouvrant les volets, admirer les étoiles dans le ciel et se réjouir de n’être jamais lassé de le faire.
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La question du lundi. Livre à garder, à prêter, à offrir.
Par ici, on achète peu de livres. Uniquement quand on est sûr qu’on les aimera vraiment, qu’on les relira certainement et qu’on prendra plaisir à les prêter ou à les offrir.
C’est déjà arrivé avec certains livres comme Une année à la campagne, de Sue Hubbel ou Une vie bouleversée d’Etty Hillesum ou Le jardin enchanté de Maria Hofker ou La nuit privée d’étoiles de Thomas Merton… et plein d’autres. Pour ceux qui viennent d’être cités, on a d’ailleurs à la maison deux exemplaires : celui qui reste à la maison, celui qui peut être prêté.
C’est ce qui vient d’arriver avec L’œil américain, de Pierre Morency. C’est un livre qu’on a acheté. On le relira. Pendant sa lecture, on pensait déjà : « Je vais en commander un deuxième exemplaire et je le prêterai à X et ensuite à Y. » ou « Je vais l’offrir à Z pour son anniversaire. » Etc.
Au passage, vifs remerciements à D. du blog A sauts et à gambades.
D’où la question du lundi : Quel livre avez-vous eu envie, parce que vous l’avez beaucoup aimé, de garder, de prêter et d’offrir ?