Lectures en cours : « Ce que savait la nuit », d’Arnaldur Indridason. C’est vraiment bien, comme toujours avec cet auteur islandais. En première approche de l’œuvre de Louise Glück, Prix Nobel de Littérature, « L’Iris sauvage » et « Nuit de foi et de vertu », en édition bilingue, ce qui est toujours intéressant. Traduire est un art.

Potimarrons : Sur les étals, rencontrer les premiers potimarrons, les premières courges. Ces teintes orangées se marient bien avec le violet des grappes de raisin et des quetsches. On fera une tarte avec ces dernières lors du prochain pique-nique.

Boîte à livres : Déposer dans des boîtes à livres ceux qu’on a extraits du bureau parce qu’on ne les relira pas et que la place est comptée.

Figues : Préparer une belle tarte aux figues pour entrer dans ce mois de septembre. Recette simple : une pâte brisée faite maison bien sûr sur laquelle on pose les unes tout près des autres les figues qu’on aura pris soin de rincer et d’essuyer, le tout très délicatement, et au four. Pour les gourmands, au moment de servir, accompagner la part de tarte d’une boule de glace vanille.

Courrier : Rester une inconditionnelle du courrier écrit à la main et au stylo-plume, lettre et enveloppe, du joli timbre, de la cire à cacheter, de la promenade jusqu’à la boîte aux lettres. Tout ceci prend du temps, mais, si on y réfléchit bien, de quel temps s’agit-il ?

Tourterelles : Les deux tourterelles de la cour viennent volontiers déguster les baies de la vigne vierge, ce qui agace les chats, confinés derrière la porte-fenêtre.