Le matin, Respire, un témoignage dans lequel l’auteur, Stéphane Haskell, explique comment le yoga lui a permis de retrouver sa mobilité, en alternance avec la nième lecture d’Une année à la campagne, de Sue Hubbell dont on retrouve une phrase soulignée, page 142 : « Comme nombre de mes voisins je suis pauvre. Je vis avec des revenus bien inférieurs au seuil de pauvreté – bien que je n’aie pas l’impression d’être pauvre lorsque les arbres de Judée et les cornouillers fleurissent en même temps. »
Dans le sac à main, le cahier à la jolie couverture en scrapbooking reçu en cadeau dédié aux notes qu’on prend pour le prochain roman en cours.
Le soir, toujours Un roi sans divertissement de Giono dont la lecture se savoure parfois ligne à ligne, en alternance avec Qui prend la mouche, de M.C. Beaton, un roman policier so british.
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Livres du matin / du sac à main / du soir.
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Le matin, Sagesse de l’herbe, d’Anne Le Maître, avant d’aller marcher dans la colline, en alternance avec Le jeûne, une nouvelle thérapie, de Thierry de Lestrade, un livre qui traînait sur une table de la médiathèque.
Dans le sac à dos, Là, poèmes d’Etienne Paulin, un livre qui traînait aussi sur une table de la médiathèque.
Le soir, Giono furioso, d’Emmanuelle Lambert qui commence par cette phrase de Giono en exergue : « Je tuerais pour écrire. »