Le matin, Sagesse de l’herbe, d’Anne Le Maître, avant d’aller marcher dans la colline, en alternance avec Le jeûne, une nouvelle thérapie, de Thierry de Lestrade, un livre qui traînait sur une table de la médiathèque.
Dans le sac à dos, Là, poèmes d’Etienne Paulin, un livre qui traînait aussi sur une table de la médiathèque.
Le soir, Giono furioso, d’Emmanuelle Lambert qui commence par cette phrase de Giono en exergue : « Je tuerais pour écrire. »
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Livres du matin / du sac à main / du soir.
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Livres du matin, du sac à main, du soir
Le matin, Les braves gens ne courent pas les rues, un recueil de nouvelles de Flannery 0'Connor dont on admire l'oeuvre pour toujours. C'est un Folio emprunté à la Médiathèque.
Dans le sac à main, le journal quotidien et le Journal de prière de Flannery 0'Connor, aussi qu'on prend plaisir à lire le plus lentement possible, relisant certaines pages, reprenant au début, l'ouvrant au hasard ; d'ailleurs, ce livre n'a pas de marque-pages.
Le soir, Indian Creek, de Pete Fromm, le récit de tout un hiver passé seul par l'auteur dans les Rocheuses, et un roman policier, Les Soeurs Mitford enquêtent Le gang de la Tamise.