Le matin, La fabrique du crétin digital, de Michel Desmurget dont on ne peut que conseiller la lecture surtout si on a des enfants autour de soi.
Dans le sac à main, le journal quotidien et, comme il est tout petit, Mon Pouchkine de Marina Tsvetaïeva.
Le soir, Hamish Macbeth Qui va à la chasse, puis Hasmich Macbeth Qui s’y frotte s’y pique, de M.C. Beaton et Sans jamais atteindre les sommets de Paolo Cognetti.
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Livres du matin / du sac à main / du soir.
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Le matin, Respire, un témoignage dans lequel l’auteur, Stéphane Haskell, explique comment le yoga lui a permis de retrouver sa mobilité, en alternance avec la nième lecture d’Une année à la campagne, de Sue Hubbell dont on retrouve une phrase soulignée, page 142 : « Comme nombre de mes voisins je suis pauvre. Je vis avec des revenus bien inférieurs au seuil de pauvreté – bien que je n’aie pas l’impression d’être pauvre lorsque les arbres de Judée et les cornouillers fleurissent en même temps. »
Dans le sac à main, le cahier à la jolie couverture en scrapbooking reçu en cadeau dédié aux notes qu’on prend pour le prochain roman en cours.
Le soir, toujours Un roi sans divertissement de Giono dont la lecture se savoure parfois ligne à ligne, en alternance avec Qui prend la mouche, de M.C. Beaton, un roman policier so british.