Après avoir lu Les oies des neiges, de William Fiennes tout un dimanche il y a quelques semaines, le relire intégralement comme on le fait souvent pour des livres admirables.
Les oies des neiges ou comment trouver son été, comment trouver son nord, afin de vivre sa vie pleinement et non dans l’attente.
Quand on aura récupéré ce livre qu’on va largement prêter jusqu’à peut-être en faire un livre voyageur, on le rangera tout près de Rick Bass, de John Haines, d’Edward Abbey, et de la grande Sue Huebbel dont on avait lu Une année à la campagne, Vivre les questions, il y a près de trente ans.
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Passer la soirée avec William Fiennes.
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15 avril 2011. Marché d’herbes et de livres.
Descendre sur le port.
Regarder les pointus.
Aller au marché acheter du persil et de la ciboulette.
S’arrêter à la librairie La Galerie pour remercier Anne-Marie d’avoir conseillé la lecture de Désert Solitaire d’Edward Abbey.
Repartir avec, au milieu des herbes dans le fond du panier, quelques livres dont le dernier Sylvie Germain.