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john haines

  • Trésor.

    Ranger la bibliothèque car les livres vont et viennent. On les sort des rayons, on les feuillette, on les pose sur une table, on les descend dans la salle, on les emmène dans le sac à dos ou le sac à main. On en amène de nouveaux qu’on lit, qu’on annote, qu’on relit et qu’on se décide à mettre enfin sur une étagère à l’endroit qui semble leur convenir : roman, poésie, religion, histoire, art, …
    Au moment où on range Ma vie dans monts, d’Antoine Marcel, près de Thich Nhat Hanh, Edward Abbey, John Haines, Paolo Rumiz, Anselm Grun, d'autres encore et surtout l’incontournable Sue Hubbell, on le feuillette pour retrouver cette jolie phrase qu’on y avait soulignée :

    « Lorsque votre lecture fait vivre un livre, ce n’est plus ce volume inerte au milieu des volumes poussiéreux de la bibliothèque, c’est un trésor. »

  • Passer la soirée avec William Fiennes.

    Après avoir lu Les oies des neiges, de William Fiennes tout un dimanche il y a quelques semaines, le relire intégralement comme on le fait souvent pour des livres admirables.
    Les oies des neiges ou comment trouver son été, comment trouver son nord, afin de vivre sa vie pleinement et non dans l’attente.
    Quand on aura récupéré ce livre qu’on va largement prêter jusqu’à peut-être en faire un livre voyageur, on le rangera tout près de Rick Bass, de John Haines, d’Edward Abbey, et de la grande Sue Huebbel dont on avait lu Une année à la campagne, Vivre les questions, il y a près de trente ans.